BIOGRAPHIE
Olympia Alberti est docteur ès lettres en littérature comparée et membre du jury international du prix Prométhée, qui couronne chaque année un manuscrit de nouvelliste.
Avec un Prix de Poésie de l’Académie Française pour ses deux premiers livres de poésie, le Prix des Créateurs pour son premier roman (Un Jasmin ivre), un prix de l’essai de la Société des Gens de Lettres pour Rilke Sans Domicile Fixe et le Prix de la Critique Littéraire Émile Faguet de l’Académie Française pour Giono, le Grand Western, l’œuvre d’Olympia Alberti est reconnue pour son exigence et sa profondeur.
Olympia Alberti vit à Nice et à Paris.
DERNIER OUVRAGE PARU
Mars 1767. Une jeune femme, Sara Banzet, tient le journal de ce qu’elle transmet à des enfants du Ban-de-la-Roche, vallée vosgienne isolée où l’on a encore récemment brûlé des « sorcières ». Le pasteur Oberlin lui a enseigné une pédagogie toute vivante, faite d’expériences, de collections de roches et d’objets divers, d’études de la nature. Sara, nous dit Olympia Alberti, « ajoutait ce qu’elle savait du vent, de la farine, du toucher de la laine, du silence et des rêves ». Sous le titre évocateur de « conductrice de la tendre enfance », Sara Banzet peut être considérée comme l’ancêtre charismatique des institutrices d’école maternelle. Mais comment ses petits élèves vont-ils recevoir ce qu’elle tente de leur apprendre en douceur ? Et que se passe-t-il entre le Nicko et le Claude, qui ne se quittent pas d’une semelle ?
Source : Le Verger Editeur – Crédit photo : DR