LE FESTIVAL DU LIVRE NICE

KARINE GIEBEL

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BIOGRAPHIE

Karine GIEBEL est née en 1971. Elle est originaire du Var où elle vit toujours. Depuis qu’elle sait tenir un stylo, elle écrit…

Elle poursuit des études de droit tout en s’essayant à divers boulots, pas toujours gratifiants mais souvent formateurs. Parallèlement, elle se lance dans l’écriture d’un polar et parvient à y mettre un point final.

Son premier roman, Terminus Elicius (Editions la Vie du rail, 2004) reçoit le Prix Marseillais du Polar en 2005. Suivra Meurtres pour rédemption (Editions la Vie du rail, 2006) qui a été sélectionné pour le Prix Polar Cognac. Les Morsures de l’ombre a reçu le Prix Intramuros de Festival Polar & Co de Cognac 2008 ainsi que le Prix Polar SNCF 2009. Juste une ombre. Prix Cognac du Polar francophone 2012… Elle est devenue une grande collectionneuse de prix littéraires.

Les livres de Karine Giebel sont vendus à plus d’un million d’exemplaires à ce jour et sont traduits dans une douzaine de langues.

DERNIER OUVRAGE PARU

De Sarajevo à Gaza, en passant par Grozny, la Colombie ou l’Afghanistan, Grégory se rend au chevet des sacrifiés sous l’égide de la Croix-Rouge internationale. Chaque victime sauvée est une victoire sur la folie des hommes. Chaque vie épargnée donne un sens à la sienne. Peu importe les cicatrices et les plaies invisibles que lui laisse chaque conflit.

Poussé par l’adrénaline, par un courage hors du commun et par l’envie de sauver ceux que le monde oublie, Grégory prend de plus en plus de risques.
Jusqu’au risque de trop. Jusqu’au drame…

Ne pas flancher, ne pas s’effondrer. Ne pas perdre la raison.
Choisir.
Sauver cette jeune fille, condamner cet adolescent. Soigner ce quadragénaire, laisser mourir cet enfant.
Choisir.
Endurer les suppliques d’une mère, d’un père.
Certains tombent à genoux devant lui, comme s’il était Dieu.
Choisir.
Tenter de sauver cette femme. Sacrifier sa petite fille qui n’a que peu de chances de survivre à ses blessures.
Choisir.
Et chaque fois, mourir un peu.

Source : Récamier – Crédit photo : Melania Avanzato