HOMMAGE À HENRI BOSCO

Temps de lecture : 2 minutes

DU 1ER AU 8 JUIN

>Bibliothèque Louis Nucéra (Place Yves Klein)
Exposition « Henri Bosco, de l’inspiration à l’œuvre »

En partenariat avec la Bibliothèque Universitaire de l’UFR LASH Université Nice Côte d’Azur.

VENDREDI 2 JUIN

11h > Espace Forum des auteurs
Concours de lecture à voix haute – Remise du Prix Henri Bosco, Cette année, la Ville de Nice organise, en partenariat avec « L’amitié Henri Bosco » représentée par Monsieur Alain Tassel, professeur de littérature française à l’université Côté d’azur et Madame Fabienne Langoureau-Morel, professeure agrégée de Lettres modernes, un concours de lecture à voix haute de textes de l’écrivain provençal. Ce Prix Henri Bosco est l’occasion de faire découvrir ou relire son œuvre. Les lauréats, écoliers, collégiens et lycéens, liront leur texte et seront récompensés en présence de Sophie Pacifico Le Guyader, petite nièce de l’auteur, Présidente d’honneur, et de l’écrivain René Frégni, membre du jury.

17h > Bibliothèque Louis Nucéra (Place Yves Klein)  
« Henri Bosco, écrivain niçois et méditerranéen »
Conférence de Fabienne Langoureau-Morel, professeure agrégée de Lettres Modernes au Lycée Albert Calmette. Cette conférence sera suivie d’une séance de dédicace de Sophie Pacifico Le Guyader, petit nièce d’Henri Bosco, pour son livre En Provence, sur les pas de Bosco (Equinoxe). En partenariat avec l’association « L’Amitié Henri Bosco ».

L’attachement d’Henri Bosco à Nice et à la Méditerranée est multiple. Un lien très fort unit l’écrivain à Nice, puisqu’il s’agit de la ville natale de sa mère, dont il était si proche. Il choisit d’y revenir à son retour du Maroc, après une carrière passée quasiment exclusivement à l’étranger, et d’en faire son ultime lieu de vie. L’écrivain partage alors sa vie entre Nice et Lourmarin. En janvier 1955, Henri Bosco, achète une petite propriété, surnommée « la Maison Rose » à Cimiez, avenue de l’Abbaye de Saint-Pons.

Cette maison, ancienne demeure de Paul Iribe, voit alors l’atelier du peintre se transformer en bureau d’écrivain. Henri Bosco ne se lassera pas, jusqu’à la fin de sa vie, de se promener sur la colline de Cimiez, fasciné par ses restanques et ses oliviers.

Crédit photo : Jean-François Jung